Trompes la mort, corps sur le vide,
dans ta main il y a des acrobates hermaphrodites
qui sont en figures libres.
Sur un fil rouge, à l’équilibre, ils ont les doigts qui bougent.
Ils restent suspendus au trait que tu décides.
Et puis toi bras ouverts, vivante de puissance,
il flotte sur tes reins comme des pas de danse,
un spectacle moderne,
à l’unique intention de provoquer l’éclair,
sur le seul paysage où tout est féminin.
Des orages d’été jusque droit dans les yeux
l’air est rempli de toi.