Tu es mes yeux ouverts,
la lumière au fond du refuge
l’enclave de notre liberté.
Tu es le bleu de mes solitudes,
au travers de ton cœur sont nos regards
je le ferai battre pour nous croiser encore.
Tu es la fleur au bord du puits ou je me suis perdu.
Je bannirai mon herbe mauvaise de notre chemin.
Je rendrai silencieux mes mots assassins.
Tu es l’unique princesse.
Celle de la pluie,
celle de la nuit
celle de toujours.
Je te préserverai à l’infini
au-delà de ce que je suis aujourd’hui
plus rien sans nous et plus que mort sans toi.