Ouvrons une parenthèse,
Au cours de la journée…
Déposant, à l’entrée, les carcans de nos vies
Nous serons libres et nus,
Pour ces heures ravies.
Le coucou de l’horloge trouvera porte close.
Jouons en aparté
Au gré de nos envies.
Les minutes peau à peau
Contredisent la thèse du temps qu’on dit compté.
Les rumeurs de la rue murmurent, puis se taisent.
18/01/2009