Parce que jamais, un homme ne pleure.
Quelle que soit la douleur
Qui lui broie le cœur.
Parce que jamais, un amour ne meurt.
Quelle que soit les rancœurs
Qui déchirent les âmes soeur.
Parce que le verbe aimer, à l’imparfait
Se conjugue je te hais,
Au futur des amours défaits.
Et pourtant je pleure,
Des larmes de l’une,
Qui brulent les couleurs
D’une vie de brume.