Je me rappelle bien de
ces doux instants de tendresse,
de ces moments de complicité
avant que tu me délaisses
Hier,
quand tu étais là,
près de moi
Assis dans le jardin d’Eden
tu écoutais alors ma voix
Tapis là, sur ma peau d’ébène,
sussurant des mots d’autrefois
Ta tête sur mon épaule,
tu me disais toujours oui
Je croyais que notre amour
ne serait jamais fini
Hier,
quand tu étais là,
près de moi
Bien sûr, l’avenir n’était pas écrit
alors, pour nous deux
mais l’éternité devait se charger
de nous rendre heureux
...