Mon cœur s’était endormi ;
Je l’avais laissé trop seul.
Prisonnier des chaines du passé,
il tournait au ralenti.
A ce rythme, je l’avais soumis.
Pour vous je le tire de son linceul.
D’inactivité, il devait se lasser.
De la monotonie, vous l’avez diverti.
En votre cœur vous m’avez admis.
Je veux être aimé, mais de vous seule.
Toujours vers vous iront mes tendres pensées.
Vers un avenir radieux, nous voilà partis.