Et le temps est venu, de panser les blessures
Je regrette ces mots, qui ne sont pas de moi
J’ai reconnu mes torts, elle sa forfaiture
Il est temps maintenant, de conjurer le sort
Dont on croit qu’il s’acharne, sur nos joies et nos peines
Mais qui sommes nous donc, pour mériter celà ?
Rien de plus que les autres, faits d’amour et de haine
Tout simplement des hommes, et c’est bien comme celà