Illusionne nous muse d’un rêve
Où le pouls solaire deviendrait bleu.
A nos si fragiles empreintes
Ne suivrait plus le masque du fourbe ennui.
La boue du chemin se serait perdue
Aveuglée par ta flamme rassurante.
De celles qui écartent le noir de mes doigts
De celles qui nous rassemblent...
Dans ce seul endroit,
Là où muse tu dors et nous crées
Et là où je dors en toi...
Emirelo - juillet 2009