Je me souviens encore d’elle
Je ne l’oublierai jamais à longueur d’années
Je resterai toujours fidèle,
A « Somia », le lustre de mes années
Le temps essaie en vain de me fourvoyer,
De me faire oublier ma belle rose
Mon amour est comme l’aigle éployé
Et le restera en tout état de cause
Le temps, face au « triennium de séparation »,
M’exhibe le menu de ses baumes
Jargon m’est cette divagation
Mon cœur ne comprend que « Somia » qui l’embaume
En dépit de toutes sortes d’adversité,
Orgueilleux est mon cher cœur
« Somia » assurera bien sa pérennité
En me caressant de chauds mamours
Je me souviens encore de son image
La langue de mon cœur lui démange !
Il veut fichtrement rendre hommage,
A « Somia », son plus beau des anges