Sa silhouette flottait au près de la lagune,
Son ombre s’allongeait au milieu d’une dune,
Je vis dans son visage aux longs jets de lumières,
S’illuminer l’étoile au bord de ses paupières,
Je sentis un parfum délivrer son essence,
Quand nos pas s’enroulaient au rythme de sa danse,
J’ondulais mes caresses vives sur son corps,
Salé sous les embruns de perles aux reflets d’or,
Le crépuscule s’enflammait et le désir,
Tel un océan, inondait nos lèvres de [plaisir],
Mais le vent asséchait déjà mes baisers d’ange,
Tandis qu’elle s’effaçait dans son voile orange,
L’amour est-ce le paradis des fleurs,
Qui fanent aux fraîches premières heures ?
Devant la mer revit mon plus beau souvenir,
Si...Si seulement j’avais pu la retenir...