Je donne à la souffrance son éloge d’amour,
Car vidé de substance tes sentiments se monnayent,
On voit naitre les impératifs obséquieux,
Qui mettent un jolie nœud au bout de ta …
Que t’importe encore, les médailles et les récompenses,
Crois tu que l’amour exige ce genre de pétulance ?
Que tant de têtes blanches, ânonnent ton mérite ?
Et déjà l’obtus sentiment dans ta gorge s’irrite,
Ils râlent comme des mourants, étouffés par la crainte,
De rouler comme des pierres, que la foule aplatit,
Et nos tristes prières, redevenus poussières,
Où je te vois flotter, sans points et sans repères,
Que de longs cheveux nus, d’impalpables nuances,
Et l’aveugle têtu qui dans mon cœur se lance,
Et brise le silence, et devient incongru,
Car la douleur le lance, et qu’il se sait vaincu,
D’avance….