Pour toi je revêts l’apparenceD’un amour folâtre et plaisantJe serais la nymphe à la fidélité sans constance ?Ton regard se pose dans les replis de mes tourmentsJe crie ma souffrance et mon égarementEcoute mon âme pleurer, supplier la tienneJe suis à toi, fatalité, ou enchantement ?Vestale, j’allumerais les feux d’une aube païenneDouterais tu encore de ma passion ?J’ai abdiqué tout orgueil et sans honteRegarde moi aimer au rythme de la déraisonPour toi je revêts l’apparence d’un amour sans ombres
-
apparence
...
- Accueil
- apparence