Dans un vestibule sans ombre se fane l’attenteDouceur d’une certitude, envolée de promessesPour nous , ce jour se pare d’une ombre évanescenteNos mains se joignent, allégorie d’une déesseDans un vestibule sans nuages s’accordent nos nomsLa plume diserte s’incline ,gracieuse, amoureuseCe cahier vieux d’un âge effacé écoute le sonDe nos âmes dire oui à l’heure crucialeDans un vestibule s’attarde le soleil démagogueRobe de pourpre et de diamants qui disparaîtFragile ,dans les nuées où le soir déjà épilogueLeur union est née dans cette plaine magique,EROS sourit , distraitDans un vestibule la lune plaide coupableJ’ai abrité ces amours depuis le sacre des étoilesCet hymen est mon œuvre, je suis la marraine sidéraleSur un coussin d’éternité l’anneau j’ai déposé, affable
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