Comme le vent qui souffre sur tes pas qui s’effacent.
Comme l’eau de mes yeux qui ne vient pas à ton regard en fuite,
Comme les plumes des dieux cygnes encore là, hier.
Comme le parfum des nuages délicats sur nos âmes enlacées,
Comme le soleil hurlant de bleu, pendant nos nuits d’amour,
Comme la nocturne qui donne le frisson à notre cœur piano.
Comme la pureté de tes cheveux éternels sur ma montagne sacrée,
Comme les fleurs de l’arbre à l’aube de notre millième printemps,
Comme l’espace entre nos paumes, ce jour, tu sais..