L’orient soulève son voile et s’éveille
Le temps a paraphé le nom d’une princesse
Elle se nomme MELIA, ses yeux envoûtent
Les ombres du LEVANT qui se parfument
De sortilèges, flacons prohibés et poussiéreux
Exhumés de la terre, nomade, et asséchée
MELIA princesse des dunes est vénérée
Elle danse et ses pas émeuvent les cieux
MELIA étreint la beauté, sa grâce sylphide
Charme la vie et son fluide connecte
Les sens au mystère des livres sacrés
Princesse ton aura se grave de perles satinées
MELIA, les chants des steppes louent
Tes attraits la mélopée enlevée par les vents
Se perd et s’oublie par l’âge qui se décline
Princesse je ferme le grimoire et m’absente
Raymonde verney