Je suis Ulysse, et ton aura est celle d’une sirène,
Si l’on ne m’enchaîne, je succombe.
Je suis Juliette, et mon cœur est scellé,
Marqué à jamais de l’emprunte du divin Amour.
Mais je suis Aragon, et dans les moments de cruauté,
Je meurs de l’Amour qui prend la route du secret malheur.
Et je suis faible, si faible,
Sans toi ou avec toi.
Et face à toi, je tombe,
Et face à toi, je me perds doucement,
Et face à toi, je m’évanouis dans les nuées.