Les chantres volubiles de l’eden futur,
Tintinbulent en cadence leurs venielles homéries,
Ladres de l’infamie nous plongeant dans le kief,
Vétillant sur le sort jusqu’à la vésanie,
Zélateurs délétères, acmé de la sottise,
Apogée du mépris, sinistre vacuité,
Du chaos organique duquel ils sont nés,
Criant à faire accroire leurs désirs chimériques,
Qu’à l’orée de ce temps il n’y en a guère d’autres,
Mais patience, attendons, durant qu’ils s’ébaudissent,
Et s’endorment lascifs de ne faire qu’abhorrer,
Dans la brume nébuleuse de leur tartufferie,
Et nous leur reprendrons notre venusté.
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A n’y rien comprendre.
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