Dans un grand champ de pensées
Les miennes s’y sont éparpillées
J’avais beaux les chercher partout
Mais rien n’y faisait, rien du tout
Il y avait pourtant d’autres fleurs
Quelques pâquerettes comptaient les heures
En attendant tambour battant
Que quelques mains viennent en avant
Pour les cueillir et puis qu’enfin
On les enserre, les humes sans fin
Mais les pensées trop attachés
À ces fleurs voulaient les garder
Car elles savaient qu’une fois cueillies
Elles mourraient, mes pensées aussi
Mes pensées, étaient ces pâquerettes
Je repartais le cœur en fête
De les avoir retrouvez enfin mienne
Ha les pensées quand elles vous tiennent
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