Tu te déshabilles au rythme de mon poignet
Les frontières de la décence s’effacent
Apogée de ma solitude
Je suis le chef d’orchestre de mon plaisir inquiet
Sans limites, sans contrôle, sans morale
J’ai abandonné ta pudeur et tes principes à la lumière
La noire absence devient si pâle
L’esprit tue la misère
Nous ne respectons rien, ni personne
J’imagine tes rondeurs
Je construis ton intimité
J’ai l’illusion de ta peau,
L’effluve fictive de ton odeur
Et tes cheveux couleur de trêve
Tu as le goût du rêve.