On peut tomber à son pied,
Accident ou suicide.
On peut grimper sans sourciller,
Pour gagner de l’esprit lucide.
Les soldats de la liberté, troupes de choc,
A la pointe du Hoc en normandie,
Se sont hissés tout d’un bloc,
Pour faire taire la barbarie.
L’océan, aux vagues érodantes,
A sculpté dans la craie,
Un Etretat à l’arche éblouissante,
Chef-d’œuvre, des touristes admiré.
Ce peut-être une nursery pour oiseaux,
Aux plongeons vertigineux et poissonniers.
La mer admire au-dessus de ses bateaux,
L’albatros prenant son envol et se jouant de l’alizé.
Dans l’escalade, en suspend, en cheminée,
L’homme se hisse au-dessus de sa condition.
Sans peur du vide, il vise le sommet,
Qu’il atteindra,jouant avec sa perdition.
La falaise est dans nos rêves,
Chutes sans fin, angoissantes.
C’est un mur, bloquant sans trêve,
Nos élans vers une réussite valorisante.