GRANDE BLEUE
Humblement je m’incline, devant ta grandeur,
Face à tous tes mystères et à ta beauté,
Qu’aucun poète, malgré son dur labeur,
Avec des mots,ne pourra jamais sublimer.
Quel que soit le nom que l’on te donne,
Mer, Océan, Grande bleue, tu es aimée,
Ayant vécu l’histoire de beaucoup d’hommes,
Tu es riches en souvenirs, engloutis et oubliés,
Mais parfois les hommes s’illusionnent,
Voulant extirper tous tes mystères enfouis,
Dans tes abysses les plus profondes,
De ta beauté limpide découvrir l’infini.
Pourtant j’aimerais être une sirène !
Pour plonger en ton sein silencieux,
Et découvrir sans frein et sans peine,
L’immensité de tes fonds merveilleux.
Puis m’arrêter là où mon regard se pose,
Ecouter avec délice, le silence me parler,
Me laisser envahir par mille et une choses,
Du monde fabuleux où mon âme a plongé.
Mais je reste dépitée au dessus de ce miroir,
Où se reflète le ciel bleu de toute l’immensité,
Car devant cette vision, s’envole mon espoir,
Irrésistiblement vers toi, je me sens attirée.
Claudem