Les tourments s’effeuillent
Un à un
Presque insignifiants
Et la liberté attise
En lumière diffuse
Les paroles
D’une chanson
Les échos s’impriment
Un à un
Presque naïvement
D’être là
Chaque jour
Magnifiquement
Et les mots n’ont plus rien
Sans le cœur du vent
Qui me les porte nus
Comme nous
Juste avant