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Les humains s’enterrent
L’épouvantable n’est rien
Un humain de maux, sans fin
Un miroir, le parvis glacé
L’épouvantail il est
Au plus ou moins…
Le corps beau, qui vit pairs
Le jardin est miné
Une mine au tibia
La gent est si légère
Et la balle, pourquoi pas
Quand
La faim fait la somme
D’une terre à poursuivre
Sans les enfants décor
Que l’heure le passant
Et
Une façon pour l’étroit
Un salon pour la chair
La queue est comme utile
Pour y être certain, devoir
Mais
Facile de revoir
Les absents du savoir
Qui pleurent sans ici…
La foi qu’ils ont eu
Une histoire naissante
Le temps est pénétrant
À la veine d’un tout
Car
Le sang de lui
Il est et dans le doute
Parfois, l’erreur de le taire
Ce milieu du mot
Qui cri sur l’endos
De l’an-vers d’ailleurs
Sous l’incertain
De creuser sa tombe
La terre est par chemin
Voulez-vous bien me dire
Sur vos an-corps, jurons
Que la commode
Dans vos vies
Est un tiroir
Guenilles
Mais
Surtout
Si tous les culs enchères
Pour être dans le trou
Je fausse le sceptique
Il est l’urbain rural
De pourvoir l’an-culer
Sans saison d’aimer
Les sièges siégeant
Aux mémoires de gouvernes
N’ont pas vu le vent s’attarder
Dans la plaine
L’hiver le sait bien
Mais les gens sont affaire
Allez évacuer
Votre merde pédante
Allez
Il faut faire la guerre
À l’amour
Parce que gens
Je crois
N’ont que l’histoire
Du sang dans le noir
Quand la nuit penchée
Sous la lune
Réverbère
La vie d’une lieue
Monétaire
La mie est votre cœur
La tête est votre lieu
L’amitié qui sang la main
Tendue, dans le mouroir
De l’apprentissage…
Les humains s’enterrent
atouthasard
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