Deux par deux, pleins d’entrain
Concentrés et appliqués,
Ils se tiennent la main.
Sur leur passage : des gens émerveillés.
Au milieu des cris et des rires,
Ils se racontent de jolies histoires,
Et surtout, eux, ils y croient,
A la différence des amoureux béats.
C’est la beauté de l’innocence,
C’est la beauté de l’enfance.
Rire, s’amuser, croire n’importe quoi,
C’est la réalité des enfants aux petits doigts.
Obéir à Papa, Maman, et Maîtresse,
Se donner la main, quand on se déplace,
Deux par deux, avec toute sa classe.
Te promenant dans la rue, colonne d’enfants,
Tu fais tant sourire les gens.