Il y a un oiseau sur la branche... Il ne sait pas que le monde parle l’aurore. Il chante juste le début d’une manière... Une sorte de fête qui supplée les nuages, quand septembre délivre.
Il y a une maison, à côté. Juste là, près de la mer. Elle ne sait pas que le sable monte. Au fil de ses heures automnes, gaies et hautaines. Elle offre juste le contour des yeux. Une sorte de flou solitaire qui inspire la brise moraine.
Il y a un regard, au loin. Un vent posé sur d’autres feuilles. De celles qui volent entre les jours, à la lueur des sens. Il ne sait pas ce qui dit la fièvre, mais il respire le silence. Cette même matière qui tourbillonne entre les secondes humaines.
Il y a la vie, au-dedans. La vie autour.
Cela, quelque part...
Cela même.
Avec des écarts de baies vitrées, teintées de langues originelles.