Un beau matin fort bien banal
Rugit au loin un carnaval
Les zergs et êtres trépassés
Tous sans fin s’y rendaient
Cherchant enfin l’ile au trésor
Ils n’osaient plus éprouvés la peur
Brillant sans fin dans l’obscurité
Hurlant si bien vraie veillité
Suppôt Sarko que tu fais mal
Surtout d’un point de vue rectal
Entrez tous dans le carnaval
La mort n’y est qu’admirable
Fort trop nombreux ils étaient
Ceux ci ne pourraient passer
Surgit le son fort admirable
Des tirs implacables
Pourtant tous si effrayés
Ils continuèrent à marcher
Criant suant d’exhalaisons
Ils couraient à leurs pendaisons
Je fus surpris par ces admirables
Luttant en vain contre l’inévitable
Tombant soudain tous sans raison
La salve ne les fit pas baiser d’un ton
Suppôt Sarko que tu fais mal
Surtout d’un point de vue rectal
Entrez tous dans le carnaval
La mort n’y est qu’admirable
Me joignant soudain aux demeurés
Je vis d’autres qui me suivaient
Un enfant fort admirable
Tomba de derrière la barricade.
Les dents pour seule arme
Les braves vendirent leurs âmes
Croquant les biens beaux casques
Canines s’enfonçant dans le masque
Suppôt Sarko que tu fais mal
Surtout d’un point de vue rectal
Entrez tous dans le carnaval
La mort n’y est qu’admirable
Un gros canon fut érigé
Sur la belle place de la paix
Tirant un coup vers l’horizon
Illuminant tous ces pauvres cons
Soudain je vois mon bras volé
Tel oiseau de paradis libéré
La douleur je n’ai éprouvé
Partir à sa recherche je vais
Le malheureux vole vers le paradis
Et croise l’hélicoptère du pourri
Qui fuyait tant bien que mal
Les prémisses de ce festival
Suppôt Sarko que tu fais mal
Surtout d’un point de vue rectal
Entrez tous dans le carnaval
La mort n’y est qu’admirable