Nos étés de l’enfance étalés au soleil
En longues journées sans un nuage gris
Attisaient le rêve et nos jeux favoris.
Souvenir précieux à nul autre pareil.
Le sable et les vagues nous plaisaient beaucoup.
A chacun son panier, le seau ou l’épuisette,
Et le soir en rentrant, le regard un peu fou
Nous chantions en chœur : « Ne pleure pas Jeannette »
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Parfois, au détour d’une rêverie, surgit un souvenir que l’on croyait perdu.