Je rêve de la rêveries des mots
Bonnes gens je rêve de rêveries enfantines
Je défais le monde pour refaire la mondée
Et je me balance sur tous ces mots d »modés
Qui se glissent tranquilles sur mes étamines
Je vole vers les cieux ils se transforment cieuses
Plus précieuses que précieux, mère de l’air
Je te fends heureux, belle airaé, enfante de guerre
Je t’aspire nourriture de ma vie, délicate gageuse
Et ma rêverie se faufile dans les forêts altruistes
Où les arbres sonnent les révoltes à devenir une arbrée
Celle qui donne la sève de la vie aux feuilles marbrées
Et mon cri amplifie au loin ma criée d’être équilibriste
Je ne puis gênée me séparer du vouloir de ma volonté
De casser ma turpitude et l’enlacer d’un vil démoraleur
Ce froid moral n’incite à l’apparat dentelle de la pudeur
Prude il ne peut être, je le voue à la peur de sa triste réalité
Et je m’accroche à la tentation de la violer d’un tentavoir
Sulfureux débordement pour démanteler les illusoires
Attaques de mon esprit qui se charge de ce pensar noir
Il se fend sur ma pensée, comme un rapace ostentatoire
Je quitte ce genre vers les sommets qui se révèlent haucrête
Tu embrasses l’auréa quand tu perçois au loin l’immaculée mondée
Je n’ai plus le démoraleur et le pensar de mon tentavoir se révèle rester
Au profond du rêve de ma rêverie dans ma bonne cieiuse discrète
Enfin je me réveille la réalité tourne ma page j’étais sur les sommets
Que l’air pur embrassait en regardant avec humilité le monde immaculé
Je n’avais plus de turpitude et ma grande attention était de rester
Dans mon rêve batifolant sur ma rêverie des cieux de ma destinée.
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