L’an nouveau
L’an nouveau se lève au petit matin inconnu
On s’éveille endormi, accoudé à ce renouveau
A la recherche de l’hier, perdu dans nos pensées
De ces lestes instants de bouquets d’amitiés ténues
Que fleurisse cette neuve année en mille plaisirs
Souriez doux bonheurs pour bannir le souffrir
Votre âme vive s’abstiendra de tous vils malheurs
Pour donner à vos cœurs, l’espoir de belles heures
Heures de rêves, tendresses veloutées de la vie
L’espoir du savoir, se signe quiet pour vous protéger
Près de votre chance aux soifs d’affriolants défis
Donnes-nous ! An nouveau, un esprit de sagesse
Support d’un apport comblé de la faste sincérité
Car nous ne pourrions être otage d’un an de tristesse