L’haut de la vie pavoise mon esprit.
Ce matin, un mâtin veille protégeant ma personne.
Je suis de la suie, l’horreur d’un regard.
Il y a en moi le mois d’août acceptable.
Poursuivre, suivre l’élément vainqueur.
S’abstenir du silence, une lance dangereuse
Et pourtant, le temps s’égrène irrémédiablement.
Vie étrange, on se range malgré tout.
Chemin d’une main qui divague au loin.
L’appel, rappel de saisir l’importance.
Prendre soin de soi, une soie si précieuse.
Un sourire puis un rire… la liberté !
André, épervier