M’enfuir, m’enfuir
De cette ville qui n’a plus de charme...
De ses tapages, bourdonnements et vacarmes...
Qui martèlent mes tempes et mon ésprit...
Par cette tornade de bruits qui me détruit...
M’enfuir, m’enfuir
De la froideur de ses immeubles et ses mures...
Ternes, insipides et fades que j’abjure...
De ses gens qui pourchassent et qui courent...
Aprés le temps et se heurtent dans les carrefours...
M’enfuir, m’enfuir
Vers la compagne si paisible et si sereine...
Douce, accueillante et éxquise qui me déchaine...
De la ville lassante qui m’effraie et qui me hante...
Pour trouver la paix dans une nature si apaisante...