Le printemps ne veut pas de ma fenêtre close.
Le rose magnolia percute mon cœur morose.
Bbruissements, chuchotements,
de haies en haies chants d’amours,
roucoulements
remisent les silences à l’hiver passé.
Aux marches du perron, le soleil me propose les senteurs caressantes des fleurs à peine écloses.