Un lourd silence d’émotion et de tristesse pèse sur la Plume et l’Encrier ; tes textes défilent sur la page d’accueil et j’ai plaisir à les relire ; mais mes yeux s’embrument, ma gorge se serre et la peine m’envahit.
Nous ne lirons plus jamais tes écrits comme avant.
Tu nous as quittés discrètement mais brutalement ; là où tu es, tu es sûrement bien, mais nous, nous sommes comme amputés, privés d’un ami cher, plein de bonté.
Tes textes que nous apprécions tous vivent sur la Plume, empreints de toi et de ta vie ; tes commentaires vont nous manquer, Papabul ; tes remarques drôles, fines et pleines de bon sens ne seront plus là pour accrocher un sourire à la grisaille de ce fichu hiver ; ta gentillesse nous quitte, tu l’emmènes ailleurs, dans les nuages et les étoiles.
La plume perd un grand bonhomme qui était proche de tous.
L’hiver est vraiment moche, cette année.
Je t’envoie une larme d’au revoir, Papabul.