Chacun de nous en somme exprime à sa façon
Ses humeurs, son humour, l’amour à l’unisson
Parfois la poésie, en devient de la prose
Mais jamais dans les mots, les regards ne se posent,
Ce que la main écrit, et que vos yeux regardent
Ne sont que des syllabes, qui vous mettent en garde
J’ai envie de vous dire, et de crier bien haut
J’en ai marre d’écrire et bien marre des mots.
Ce que je veux ? bien sûr ! je peux vous l’expliquer
Saurez vous comprendre, soit dit sans vous piquer
Tout ce qui me manque, vous n’avez su le voir
Ce simple sentiment, qui manque à mon espoir
j’ai envie de courir au milieu de la lande
et de hurler si fort, que l’univers m’entende
vous dire mes tourments, ma tristesse et ma peur
je n’ai pas su trouver, le chemin de son cœur.
ces quelques vers jetés, ne sont qu’un cri d’alarme
à la page imprimée, juste au travers des larmes
la détresse que j’ai, à ne pouvoir lui dire
que mon cœur est à lui, et que sous son empire
je saurais me soumettre, à ses tendres aveux
partager avec lui, ivresse d’amoureux
mais il ne me voit pas, je ferme ma fenêtre
sur mon cœur douloureux, je referme mon être.