Perdue dans un univers obscur...
Brisée par un bonheur qui point ne dure...
Ouragans ténébreux de malheurs et de tristesses...
S’abattirent sur mon cœur alourdit de souffrance...
Tel un esprit troublé et égaré, mon cœur...
Assombri ; perdit sa petite flamme de douleur...
Telle une terre décharnée et assoiffée...
Où les orchidées desséchées devinrent fanées...
Tel un marin perdant le nord...
Guettant désespérément l’aurore...
Ne supportant plus ce sort ni ces chaînes...
N’espérant ni l’enfer ni l’Eden...
J’hurlais et mes cris déchirèrent les cieux...
Les suppliant entendus du grand Dieu...
"Providence cruelle providence !"
Libérez et dictez moi la sentence...
(Merci a Delphine)