Des larmes pour souvenir,
Des lieux pour s’enfuir,
Un passé pour souffrir...
Une chanson qui résonne
Avec une main qui ronronne
Dans mon cœur d’aumônes
À ton étoile diraient certains
Qui n’sont pas sûr de voir demain
À la lumière du feu éteint...
Dirais-je plutôt ; à ce qui fut
À ce qu’on va découvrir déchu
À tout espoir que l’on a perdu
Car c’est beau de croire,
D’avoir foi en nos devoirs,
Le droit d’en avoir marre !
On ne peut m’enlever mes rêves,
Bien qu’on puisse les détruire,
Pour ça faudrait qu’je crève,
M’ôter tout avenir.
Et je lutterai même dans la mort
Pour conserver ce en quoi on croit fort
Même si l’impuissance me gagne
Le désespoir m’épargne.