Encan de concentration
Féérie de maux
Parcourez ronde terre en puits que l’ange fouit
L’errance n’avait guerre en mort l’aise ravie
Soyez d’aisance sur nos corps si c’est la vie
Abreuvez-vous d’un peu de sang ici parmi...
Veines de croyances souches au trépas, qui...
« Veuillez » n’a plus le droit de postuler l’ennui
La chair dense bitume un mort renne moisi
Mohair de fil halène en sorte qu’il rouit
Fusse plus vieux d’un soir sentence, Jean oublie
Que leurre d’un calvaire en soi cogite en lui
Dé-faïence l’appeau à pas d’amer d’un lit
N’a tous pas choix d’aller dormir sur le pieux pli
Parcourant lande un soir savane à l’infinie
La dune en sorte songe et sable l’y ci-gît
Le temps sachet pas lu le nombre qui s’enfouit
Voyant le plus réel serais-je au paradis
De l’an corps fier le glas pédant d’une survie
L’ange lia la feuille et sycomore vit
La fille de satin quand les femmes au nid...
Meurtrie si c’est la pomme et dire que sait l’envie
Escortez-vous trognons de haine et de Messie
Lèvres à la dent mots dits que la langue suffit
Le pas rôle et la scène aux yeux qui sans suivit
Savoir l’encore ici peut-être Éloi que j’ouie
Sachez que quand n’est plus porter ses silences
Saurai le quart moitié d’humain soir d’innocence
Le nous n’a plus la nuit de l’anche où est le sens
Gardez vos siens l’ombre qui marche sans balance
Sur caravanes quant à deux gens en potence
Accordez vie à l’heure amène une bien-séance
Lavoir à l’œil en eau vive le pas de chance
Parcourez ronde terre en puits que l’ange penche
Incertain de faire le tien d’une croyance
Convertir l’enfance quand toute impudence
Sera nantie par temps de peur et de silence
Je serai noir raciste un lieu dans l’insistance
Je saurai voir malgré tant Dieu que l’existence
Forçat le gueux enseigne au front Descartes en science
Compter sur tout quand Roi dit celle sa sous France
Le par a dit je suis au golfe le vert danse
D’un furet poissant sur foret vive l’essence
Ils sont de mèche à un cheveu de la distance
Mais c’est au poêle en rond ou gaz en flatulence
Enfourner tout le pain ma mie revoir Byzance
Fussent maures humains la guerre était étanche
Maquillées larmes d’un rimmel le masque à rat...
Et à l’éveil cet homme après des nuits d’horreur
Demanda à sa fenêtre un peu de chaleur