Sortirais-je bientôt de la nuit
Dans laquelle désormais je vis
Où je suis perdu, sans lumière
J’aurais besoin que l’on m’éclaire
Dans laquelle désormais je vis
Où je suis perdu, sans lumière
J’aurais besoin que l’on m’éclaire
Vais-je bientôt sentir cette douce chaleur
Venant du soleil, de ses premières lueurs
Qui viendront ensoleiller mon corps et mon âme
Me donner goût à la vie, raviver la flamme
Venant du soleil, de ses premières lueurs
Qui viendront ensoleiller mon corps et mon âme
Me donner goût à la vie, raviver la flamme
Reverrais-je la rosée matinale
Le lever du soleil à l’horizon
Ce qui est aux vampires, fatal
Et que moi j’attends avec déraison
Le lever du soleil à l’horizon
Ce qui est aux vampires, fatal
Et que moi j’attends avec déraison
Pourrais-je un jour retrouver mon chemin
Dans ce monde austère où je ne vois rien
Et où je suis depuis longtemps perdu
Ce monde sombre que je ne désire plus
Dans ce monde austère où je ne vois rien
Et où je suis depuis longtemps perdu
Ce monde sombre que je ne désire plus
Est-il possible qu’on m’aide à m’en sortir
Je respire la vie, mais elle veut me fuir
Seulement, c’est moi qui la rattraperai
Ce combat là, je le remporterai
Je respire la vie, mais elle veut me fuir
Seulement, c’est moi qui la rattraperai
Ce combat là, je le remporterai
Je suis impatient de revoir le jour
Mais, damné, je ne paraît pas fait pour
Je semble errer indéfiniment
Dans cette vie proche du néant
Mais, damné, je ne paraît pas fait pour
Je semble errer indéfiniment
Dans cette vie proche du néant
Le sort s’acharnerait-il sur moi ?
Ma vie est un chemin de croix
Duquel je ne peux m’écarter
Je me sens comme un prisonnier
Ma vie est un chemin de croix
Duquel je ne peux m’écarter
Je me sens comme un prisonnier
Une existence dénuée de sens
Rien que j’ai mérité, je pense
Mais je suis à l’aube d’un changement
Ainsi, j’attends l’aurore impatiemment
Rien que j’ai mérité, je pense
Mais je suis à l’aube d’un changement
Ainsi, j’attends l’aurore impatiemment
Voici que l’escapade nocturne
Dans un monde bien taciturne
Que je n’ai jamais demandé
Semble enfin se terminer.
Dans un monde bien taciturne
Que je n’ai jamais demandé
Semble enfin se terminer.