C’est vrai,
Il aurait fallu presque rien
Pour toucher le rêve
Une bonne dose de fièvre
Et un lendemain..........
Les affres du bonheur se pavanent
Forçant la citadelle de mon cœur
Et l ’ étoile du berger
N’a plus le même aspect...
Eté merveilleux qui a porté aux nues
L ’ osmose des amants,
Eté inoubliable qui a tout entendu
Et s’en va doucement
Recueillant les complaintes
Les cassures et les craintes
De rêves improbables....
Tout est calme à l ’heure des doutes
Et dans le ciel, les voeux s’égouttent,
Cherchent un depart
Et puis s’égarent...
La misique du cœur
Change de mélodie,
Y-a-t’ il un ailleurs
Sans tempête , sans pluie ?