Et tout ce temps qui ne m’appartenait pas
A te prendre la main ou à sécher tes larmes
Quand la vie cruelle te faisait rendre les armes
Au delà de l’espoir, être simplement là.
Et tout ce temps dérobé au ciel de mes nuits
A écrire les mots du réconfort, de l’amour
Quand la lune trop haute effaçait les toujours
Au sein de ton âme venait se nicher l’ennui.
Et tout ce temps que je n’ai jamais compté
Car pour toi jamais je n’ai voulu mesurer
Et cette tendresse devenue indifférence
Pas à pas, entre nous, tout n’est plus que silence...