Il y a de ces jours,
Où le bonheur semble avoir déserté,
Où, quoiqu’on face, quoiqu’on dise,
On vous assomera à grand coup de : "à quoi bon ?"
Il y a de ces jours,
Où l’on à besoin d’être rassuré,
Et tout ce qu’on vous renvoie,
C’est un grand vide, sans espoir.
Il y a de ces jours,
Où l’on aimerai se faire hermitte,
Pour ne plus être transpercé,
transpercé de petites épines acérées.
Il y a de ces jours,
Où on pourrait se laisser crever,
Par lassitude ou sans raisons,
Juste sombrer sans se débattre.
Il y a de ces jours,
Où tout pourrait allez si bien,
Mais quelqu’un en décide autrement,
Et lentement, vous vous perdez.