Tu crois y avoir échappé
Tu te dis qu’à présent ce vice a disparu.
Les jours passent, tu te sens heureux,
Fier de vivre comme les autres.
Et puis un soir,
comme cela,
par hasard,
tu rencontres une fois de plus ce goût de l’amer, de la mort.
Et tu retombes une fois de plus dans les bras de cette eau colorée.
Et alors ?
Tes efforts ?
Tombés à l’alcool pour s’y noyer.
Et tu te laisses aller à l’abandon...
Plus rien pour te sauver,
Que ce vin pour te consoler...
LUCIANA