L’anse de la cloche
(La Drave)
Cachette pour ces mots, un tiroir de misère
Meuble le solitaire et tout ce lieu, mon frère
Quand deux saisons portées en terre, la rivière...
Le silence au salon... porteurs d’eau qui lacèrent
L’anse de la cloche nommée, la marée largue...
Qui emporta sa peine et l’enfance d’une algue
Voguez à vos bouleaux et sachez que dit vague
À mon ouie sur la berge en y sachant.. la drague
Le pied sur un roulis de deux arbres puceaux
Emploie des écorces pour que l’âge soit sceau
Et dans cette lettre quand fatigue ses maux
De ne savoir lire... servait à dire plus tôt
Il a su que le mot
Était au parfois et aussi soudain
Qu’il est incertain
D’être un oiseau
Il a du chagrin
Mais il est en sol
Et nous sur la drave
L’ami se repose