Une lumière pâle se glisse dans mes rêves,
Ils se métamorphosent l’espace d’une trêve.
Des images illusoires du temps passé
Où l’amour éphémère n’est plus qu’une pensée.
Se dévoile ici, une histoire effacée
Où les bleus de mon cœur resteront enfoncés.
La densité particulière de la détresse,
Dresse un avenir sans tendresse.
Maintenant l’automne caresse
Les couleurs, dont, l’éclat est tristesse.
La victoire restera un rêve,
Comme un coup de vent sur la grève.