Tu sais... parfois j’ai du mal. Parfois c’est dur de ne pas crier, quand on a l’impression d’être transparente. Et devant toi, c’est l’impression que j’ai... depuis une heure, depuis un jour... depuis un an ?
Mais ça passera... comme d’habitude, ça passera. Tu rentreras, peut-être que j’aurai un message, dans quelques jours. Et tout sourire, je serai là.
Et dans 9 mois j’apprendrai par hasard une quelconque histoire de tes vacances que tu aurais pu me raconter au téléphone. Ou même en direct, si on prenait la peine de se voir, ces temps ci.
Mais la bile monte... et la voix, toujours, qui murmure à l’oreille que moi, je n’en vaux pas la peine. Et je compte les secondes pour oublier que les vacances, c’est toujours sans moi.
Parce que moi, je ne compte pas