La lumière faiblit et les espoirs s’en vontLes nuages divaguent et le champ d’orge ondulePourquoi ce cri d’oiseau au loin vers l’horizonLe vent court et l’angoisse vole au crépusculeSeule, une ombre, noire sur un mur de maisonImmobile et muette dans la caniculeReste au-delà du temps que rythment les saisonsEt rêve quand soudain la chouette effraie hulule.
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