Petit oiseau
Pourquoi bas tu des ailes ?
Ne vois tu pas que mon éspace est clos ?
Tes ailes sont incapables de me porter
Là où je veux aller
Dors dans mon sang
Je t’apprendrai à ne pas aimer
Je t’apprendrai à ne pas hair
A ne pas être ni de chair ni de sang
A ne pas avoir peur
Car ce qui sera,sera
Dors dans mon sang
Comme le bois de cette porte
Provenant des fôrets lointaines
Il n’y’a rien dérrière cette porte
Sauf les cris
De nos bûcherons de grands pères
Il n’y’a rien dans ce bois
Que les larmes d’hiver
Dors dans mon sang
Tu es prisonnier de ma décéption
Prisonnier de mes troupes
Découragées,vaincues
Incapables de franchir les murailles
De la cité de la joie
Dors dans mon sang
Il n’y’a rien dérrière cette porte
Sauf des souvenirs douleureux
Un passé à ne pas réveiller
Sauf des secrets que je dorlote
De peur qu’ils ne s’ébruitent
Il n’y’ rien dérrière cette porte
Sauf un loquet froid et rouillé
Que personne n’a touché
Depuis mille ans
Rien qu’un semblant d’amour
Auquel on avait cru toi et moi
Rien que le goût amère
D’une passion morte
D’une vérité mensongère
Des bribes d’histoires minées par le temps
Petit oiseau
Ne bas plus des ailes
Dors dans la chaleur de mon sang
L’hiver est déjà là
Rude et froid
N’entends tu pas au loin ces cris ?
Ce sont les hordes des loups
Qui se rapprochent
Assurés d’une proie facile
Car eux aussi savent
Qu’il n ’y’a rien dérrière cette porte
Aucune échappatoire.
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