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Voyages immobiles.
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> Voyages immobiles. 27 août 2005, lgilles IP:f884ccd6d76c1cc2
AH !! C’est rêves, ceux-là même qui nous laissent
Que de l’amertume au réveil. Dommage !!!
Très jolie poésie
À te relire......
> Voyages immobiles. 28 août 2005, chris2rire IP:5c62408776649056
Merci lgilles. Pour que l’amertume de la réalité disparaisse, il suffit peut-être d’écrire ce qui est irréel, transcender les images de notre monde virtuel pour les poser bien à plat sur le papier (ou l’écran ;o)
> Voyages immobiles. 27 août 2005, Aimelasorc IP:dd8f0a1a039b36e9
Tu as de la chance de faire de si beaux rèves et de bien nous les conter, dommage qu’il faille se réveiller .
> Voyages immobiles. 28 août 2005, chris2rire IP:5c62408776649056
Merci Aimela. En réalité, je me rappelle très peu de mes rêves, les seuls dont je me souvienne avec clarté sont ceux que je fait en étant éveillée.
> Voyages immobiles. 27 août 2005, patrcik IP:5c6b9fdd4ff95afd
Regard troublant que l’on voudrait porter soi-même pour rêver ainsi et même si une fièvre provoqua cet agréable délire, alors je veux bien à vos côtés m’allonger pour transpirer ainsi et féconder mes pensées de ces images plus belles les unes que les autres.
J’ai lu, j’ai relu et je vous vois encore excellente.
> Voyages immobiles. 28 août 2005, chris2rire IP:5c62408776649056
Merci Patrcik. Je suis moi-même troublée par votre Art de la prose lorsqu’elle s’adresse à quelqu’un. Oui, il s’agit bien d’un Art ! Celui de cajoler votre interlocuteur surtout si il s’agit d’une interlocutrice ;o) Votre élégance aimable fait de vous un prince, certe sans couronne, mais le panache ne vous en est que plus seyant.
Votre commentaire est à double tranchant, convenons-en, car vous dites "art de la prose lorsqu’elle..." ce qui sous-entend que lorsqu’elle ne pas, elle reste insipide ou tout du moins non art. Mais, avouons-le, je vous taquine non pour espérer vous séduire mais parce que j’essaye toujours de lire entre les lignes...
Vous voyez, j’ai volontairement gommé ce A majuscule car vous m’honorez et en même temps me faites douter. Que devrais-je dire de Vous (ou la majuscule s’impose souvent) tant vous savez me charmer de votre plume novatrice car changeante mais toujours charmante.
Je ne vous cajole point, je vous vouvoie par respect et politesse (après tout, nous connaissons-nous ? J’ajouterai : hélas...). Je confesse me laisser bercer par le ramage féminin car je le trouve souvent plus intéressant, je reconnais enfin me laisser porter par mon cœur mais à qui la faute si des personnes à votre image savent le faire battre d’émotions ?
Non, vous commentez n’est pas un art, sauf celui du mineur mais à ciel ouvert tant les pépites sont à fleur de lettres.
Merci.
Votre confession vous honore cher Patrcik et démontre malgré tout ... un certain panache ! ;o)