En réponse à..

Je ne vois pas grand chose à ajouter aux commentaires qui précèdent. Certains mots du texte de Bernard m’ont fait revenir en mémoire les récits trop rares de mon père : accent de vérité. Quant au texte de Delphine il est tout en "intériorité".
Superbe musique, inutile de le rappeler.
Sourire

Le texte de Bernard raconte l’horreur des camps en direct du vécu, l’histoire de ceux qui n’en sont pas revenus. Le mien raconte l’après, bien des années plus tard, de ceux qui ont survécu physiquement mais moralement qui sont toujours là-bas....
Oh oui la musique est une merveille...!
Merci Vanina....

Merci Vanani ;o)
J’ai l’impression en ayant fait nos textes l’un d’un côté du mur de la salle et l’autre dans son coin, que nous avons écris presque une suite..
C’est vrai que je suis plus dans la partie historique des faits mais je ne suis en fait qu’en "flash-back" puisque en fin de texte nous revenons à notre époque..Delphine quant à elle est dans notre époque et fait un "come-back"..
C’est bien ça la complementarité, non ? ;o)

Glaçant ...
Mais hélas, en dessous peut-être de l’horrible réalité ...

Merci pour eux, Delphine et Bernard, merci de leur faire une place dans ces pages

La réalité dépeinte dans toute son horreur relèverait plutôt du documentaire terrible dont on essaye de retirer toute émotion tant elle serait insupportable....La suggestion est parfois tout juste suffisante....
Merci à vous Jean-Marin de vous être arrêté sur cette musique....

Merci Jean-Marin et désolé si j’ai mis tant de temps pour répondre aux commentaires et aux mails.
Il faut je crois que c’est essentiel, toujours se rappeler de l’histoire lorsque, comme ici elle est tragique.
Il le faut pour notre avenir d’humain et pour notre descendance qui entre dans une ère où la cruauté a pris un autre visage..et qui rejoind en finalité la grande époque es barbares...

"c’est pour lui qu’elle reviendra demain"... excusez l’offense mais j’aime ainsi revenir déguster les textes qui m’enchantent et essayer d’en ressentir nouvel émoi voire y découvrir une image sur laquelle je ne m’étais pas encore assez arrêté.

Après tout et comme vous le démontrez à vous deux ici, quoi de pire que l’oubli ? Quoi de plus navrant qu’un texte effeuillé pour aussitôt se laisser emporter par le passé que l’on ne compulse plus jamais, à l’image du net dévoreur d’immédiat ?

Il n’y a aucune offense, vous êtes toujours le bienvenu tendre Patrick. Je suis comme vous, il m’arrive souvent de baguenauder du côté des textes anciens....pour les déguster à nouveau, en rire encore ou essuyer un petite larme d’émotion...
Re merci pour votre re passage....

Cela sent l’appel au texte aléatoire,ça, mon cher ami, non ? ;o))
Que tes voeux soient ainsi exaucés !
M’en vais voir ce que je peux faire pour toi ;o) car après tout, tes prières de precheur pour les pecheurs sont également des souhaits et je n’aimerais pas que ceux-ci tombent au fond d’un verre aux reliquats d’un vin déjà bu )