En réponse à..

c’est un texte qui m’a fait de la peine pour elle et en même temps une rage terrible, il y a des baffes qui de perdent, pour lui.

Les mecs font tout ce qu’ils peuvent pour conquérir une femme mais lorsqu’ils l’ont, ils se comportent pour certains d’entre eux en vrais malotrus.Bien fait pour lui, si elle le quitte

Dramatique et imbécile qu’est ce personnage ici efficacement mis en scène. Rassurez-vous, je partage votre avis sur ces sportifs du fauteuil et l’anecdote reprise aujourd’hui de cette main sur le cœur durant cette mascarade footballistique de nos hommes (et mon...) en bleu (en tout cas pas de travail) ne peut que vous donner raison : si la majorité des sportifs sont des cons, que dire dès lors de ceux qui les regardent ?

Je m’étonne du mot "amour" dans la bouche de cette femme-esclave (l’expression est de vous) mais peut-être n’ai-je jamais su ce qu’était aimer. Je préfère Fraternité mais avouons que pour la gaudriole c’ets pas le top.

Votre texte (malgré cette police un peu épaisse) est redoutable et je vous en remercie. Rien n’est plus difficile que de dénoncer sans caricaturer. Vous avez su ici le démontrer avec efficacité.

Que dire, sinon que je ne pense pas que les sportifs soient des cons, pas même les sportifs en fauteuil.

Il y a à cela une raison simple : les cons c’est comme les poulets, et on ne trouve plus de bons poulets depuis que Jacques Villeret est mort...S’il restait de vrais cons, certains courraient sans doute après un ballon, comme des poulets dont on a depuis longtemps coupé le cou...

Quant à la fraternité, c’est une valeur républicaine, sans doute moins perverse que l’égalité et mieux comprise que la liberté. C’est con (tiens ?!) mais en pratiquant certains sports (comme le rugby), on peut vivre la fraternité.

Enfin, la police est épaisse. Ce n’est pas nouveau, et ce n’est pas de sa faute. Mais rien à voir avec les poulets.

Merci

Ne vous méprenez : j’entends par "sportifs" ces caricatures qui hantent les téléviseurs et autres médias pour exhiber leur cellulite cérébrale pour vanter quelques marques publicitaires. Je respecte en revanche les pratiquants anonymes, tout du moins ceux qui n’ont d’autre ambition que de se détendre et de se faire plaisir par ces instants partagés (comme peuvent l’être un match ou une course à pied, ce que je connais mieux).

Quant à la Fraternité, je ne l’associe à la République, ce monstre affamé de sang impur comme le disent si bien ... les sportifs la main sur le cœur ! (p’tain ce qu’ils sont cons quand même ces footballeurs